Nos jus de tamarins peuvent être conservés durant 1 an sans risque et sans fermentation. Ils sont 100% naturels, sans additifs et disponibles en petit format pour vous faciliter la prise au quotidien. Consommer du jus de tamarin devient plus facile pour vous grâce à la Maison Aldar dirigée par DANDJINOU Kenny Astrid. Le jeune technicien agronome utilise sa passion pour révolutionner le secteur de l’agro-alimentaire béninois.
Aldar sur Ypada!
Équipe Ypada: Comment est-ce que l’aventure Aldar Sarl à commencer ?
AS: L’aventure a commencé en 2017 sous le nom de Mora Industry. A l’époque, j’aidais ma mère à vendre du lait caillé à l’école et au quartier. Notre petit business va grandir et donner naissance à une entreprise d’agro-alimentaire.
Quelle est la spécialité de Aldar ?
AS: Aldar est spécialisé en transformation agro-alimentaire. Nous avons plus d’une vingtaine de projets en phase de prototype. Nous sommes à 20% dans l’élevage et notre but est de faire adopter de nouvelles habitudes alimentaires aux béninois.
Aldar Smet désormais en vente du jus de tamarin ‘‘ Mora ’’, comment vous est venue l’idée d’un tel produit ?
AS: Tout est parti d’un constat. Les commerçantes les plus populaires de ce jus proposent des portions à boire sur place. J’ai donc pensé à reproduire le même processus mais avec la possibilité pour les consommateurs d’emporter leur jus avec eux. Je me suis donc réveillé un matin et j’ai produit du jus de tamarin.
J’ai produit ‘‘Mora’’ pour faciliter la tâche aux consommateurs et amateurs de Tamarin.
Comment se conserve ‘‘ Mora ’’ ?
AS: Mora n’a pas besoin d’être conservé au frais. C’est un jus embouteillé en mini-format, fait en forme de soda et qui peut tenir 1 an sans risque.
Quels sont les autres produits de Aldar Sarl ?
AS: Nous produisons du lait caillé, du baobab au lait, de la farine de patate douce, de la viande de caille et de l’œuf de caille.
Comment assurez-vous la vente de vos produits en général et quelle catégorie de personnes s’y intéressent le plus ?
AS: La majorité de nos clients viennent des réseaux sociaux et de la prospection sur le terrain. Nos produits ne sont pas chers et visent les clients à revenus intermédiaires.
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans votre activité ?
AS: Notre plus grande difficulté se retrouve dans le financement. Nous rencontrons également des difficultés à accéder à un marché plus large faute de financement. Nous n’arrivons pas à produire en grande quantité pour inonder ces marchés.
Quels sont les autres projets de Aldar Sarl ?
AS: Aldar Sarl nourrit de grandes ambitions. Nous préparons l’ouverture d’une charcuterie moderne pour distribuer en grande quantité nos volailles. Aldar Sarl a aussi plusieurs autres projets à venir.
Je voudrais remercier ma mère, celle qui m’a toujours inspiré et celle grâce à qui j’ai pu acquérir de réelles bases en transformation agro-alimentaire.
Je voudrais également remercier YPADA pour l’opportunité!
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